Groupe d’information sur les éoliennes (La Roche-en-Ardenne) 

 Dossier sur les coûts et les nuisances des éoliennes 

 

Résumé

Le parti écologiste wallon veut produire jusqu’à 8 TWh d’électricité verte, dont 4,5 TWh produit par des éoliennes onshore, soit plus de 1000 éoliennes supplémentaires.

La Wallonie a peu de vent, rendant les éoliennes très peu productives.

Il n’y a presque plus de sites où il n'y ait pas des raisons majeures de refuser des éoliennes (zones vertes protégées ou proximité d’habitations).

Conclusion : Il est impossible d’installer plus d’éoliennes en Wallonie, ce qu'on aurait pu prévoir vu la densité de population. La Flandre  installe ses éoliennes sur des sites industriels, lesquels sont inutilisables en Wallonie car situés dans des vallées.

Les objectifs dogmatiques du parti de l'écologie politique européenne (normes de production imposées) sont irréalisables mais le parti écologiste a un ministre en charge de l’éolien. Ce ministre Henry a décrété, contre les avis de l’administration, des pouvoirs locaux et des habitants d’accorder d’autorité des permis de construire refusés selon la procédure normale.

Les associations de défense dénoncent cet abus de pouvoir.

Un excès de pouvoir du ministre Henry

      Le ministre Philippe Henry a publié en août 2011 un communiqué où il n’accepte pas d’être accusé d’excès de pouvoir comme dénoncé par ‘Vent de Raison’.  Des phrases de ce communiqué de 3 pages sont citées ici (en vert) et commentées.

 Les objectifs éoliens du gouvernement wallon

     Le ministre Henry, un partisan convaincu de l’écologie politique, semble persuadé que les buts que s’est donné le gouvernement auquel il appartient sont à prendre comme des dogmes et peuvent être imposés malgré l’opposition des autres responsables. « À ce titre, il (le gouvernement wallon) a fixé dans la déclaration de politique régionale et par décision du 10 février 2011 ses objectifs ambitieux pour le développement de la production d’énergies renouvelables : tendre, à l’horizon 2020, à ce que 20% de la consommation finale d’énergie soit assurée par des sources renouvelables » (C’est un objectif de la Commission européenne où le parti ‘Ecologie politique’ a une grande influence. Cet objectif est proposé au gouvernement belge qui ne l’a pas accepté, étant en affaires courantes. Le partage entre les 3 régions est à fortiori en attente. L’efficacité de cet objectif énergétique est discutable, car ce genre de déclaration à priori n’est pas recevable sans une analyse scientifique des problèmes de l’énergie, laquelle peut seule établir les avantages et inconvénients des options).

      « … et (tendre), dans le même temps, à ce que 8000 GWh d’électricité verte soient produits sur sol wallon (et donc hors contribution de l’éolien implanté en mer). » Pourquoi éliminer l’offshore ? Est-ce que cette interprétation étendue de la déclaration va dans la direction souhaitée par des lobbies éoliens wallons dans lesquels les promoteurs wallons n’ont probablement pas l’envergure pour se lancer dans l’offshore ? Des grands pays voisins (France, Allemagne) se sont rendu compte que l’éolien offshore est le seul éolien dont le bilan est justifié du point de vue des réductions de combustible et donc de gaz à effet de serre. Récemment, certains élus wallons ne savaient pas encore que la Wallonie a droit à une partie des ressources du plateau continental de la mer belge. Du point de vue économique, la rentabilité du système offshore (qui inclut des centrales thermiques de backup) est nettement négative mais est cependant moins déficitaire que celle du système éolien onshore, car on a montré (ce que les fournisseurs d'électrisé n'ont jamais pu falsifier) que ce dernier système produit plus de CO2 qu’il n’en économise. Si un but est de produire une partie de cet électricité verte à partir de biomasse abondante en Wallonie, on doit tenir compte qu'il existe une solution très supérieure : la cogénération qui maximise l’usage de l’énergie de la biomasse mais pas la production d’une électricité qui a comme seul mérite d’être légalement classée comme verte alors qu'elle produit moins d'énergie utile.

       La Commission européenne a abandonné ses demandes d'un minimum d’électricité de sources renouvelables car le but est de remplacer le plus de consommation fossile par du renouvelable et toute contrainte supplémentaire sur la proportion énergétique 'chaleur ou électricité’ ne peut qu’empêcher une solution optimisée par les Etats. Il semble que le gouvernement wallon n’a pas compris que le raisonnement habituel sur l'électricité verte était erroné ou que les lobbies éoliens auxquels le ministre fait confiance se sont gardés de lui expliquer que la nouvelle conception corrigée désavantage l’éolien terrestre.

      La suite montre que le ministre Henry (au nom de la Wallonie) prend ainsi une décision qui ne profite pas des opportunités techniques et économiques. Les décisions du ministre semblent ainsi guidées par les dogmes de l’écologie politique plutôt que par les intérêts des Wallons.

Des objectifs ambitieux, ruineux et sans résultats

      Le message du ministre Henry pourrait être d’assurer une production de 8 TWh éolien par rapport à une production belge de 90 TWh dont la part wallonne est estimée à 30%, soit 30 TWh. Cela représenterait 27% de la production d’électricité. Tendre vers cet objectif est déjà discutable. Depuis, le gouvernement wallon a annoncé avoir fixé l'objectif éolien wallon à 4,5 TWh en 2020 (d'après Le Vif L'Express du 25 août 2011), soit 15% de l'énergie électrique totale. On constate d'ailleurs simultanément une campagne de communication médiatique (surtout à la RTBF) pour faire croire aux avantages de l'éolien et des coopératives dites citoyennes. Les potentialités de l'éolien sont très faibles. Elles n'apportent que peu d'emplois, sauf en Chine.

       Les objectifs ambitieux du ministre Henry vont contre des contraintes techniques empêchant en pratique l’éolien terrestre, fortement intermittent, de dépasser de l’ordre de 10 à 15% de la production thermique d’une région, car l’entrée de l’éolien dans le réseau risque de le mettre en surcharge et doit être souvent prohibée malgré des règlements étranges qui imposent de l’accepter ou de devoir payer des CV pour l'électricité maximum qui aurait pu être produite pendant que le réseau n'a pas pu l'accepter. La définition de la région où l’électricité éolienne peut être distribuée n’est pas liée à des frontières artificielles. La région desservie par le Jutland est plus vaste que le Danemark, englobant une partie de la Norvège et de la Suède. L’éolien restera limité tant qu’on n’a pas mis au point des stockages efficaces d’énergie électrique intermittente produite par le vent. L’émission de polluants dangereux (oxydes de souffre et d’azote, particules fines et suies cancérigènes) augmente plus que proportionnellement par rapport aux polluants non dangereux (dioxyde de carbone utile pour la végétation) quand les centrales thermiques doivent fournir la puissance irrégulière requise par le backup du vent.

        Le coût de l’électricité est de plus de 3% dans les budgets des ménages wallons. Les calculs sont complexes car il y a une répercussion d'une augmentation du prix de base sur tous les prix qui influencent le pouvoir d'achat.

Pouvoir d’achat réduit de 5,1% par l’éolien onshore

        En résumé, les calculs montrent que l’objectif de 4,5 TWh d’éolien en Wallonie (au lieu d’utiliser du gaz naturel ou de construire des centrales nucléaires) correspond à une perte de pouvoir d’achat de 5,1 % de 2011 à 2020 ou à une perte cumulative de 0,5 % par an pour chaque Wallon pendant 15 ans (durée de vie subsidiée d’une éolienne). La perte est encore plus importante si l’on tient compte de la nécessité de construire et de faire fonctionner des centrales au gaz pour le backup. La perte est encore accentuée car elles fonctionnent alors en mode dégradé intermittent.

       Si la Wallonie fabriquait plus d’électricité à partir de biomasse, les consommateurs ne devraient pas débourser autant car seuls le photovoltaïque et l’éolien reçoivent des subsides exorbitants. Une solution pour réduire la dépense serait de diviser par deux la valeur des certificats verts éoliens.

      Ceux qui ont étudié le domaine ont constaté que l'éolien terrestre ne sert à rien, ni du point de vue écologiste (il ne réduit pas les émissions de CO2), ni du point de vue de la conservation (il ne réduit pas la consommation de combustible fossile). Il est donc vexant de voir un potentiel économique dilapidé pour une idéologie dont l'éolienne est le symbole.

       Si la Wallonie continue à se laisser faire par  l’Europe où les décisions sont, dit-on, prises par des lobbies et si elle se sent contrainte de produire beaucoup de renouvelable, elle devrait vérifier que son plan est meilleur que le suivant : un maximum de biomasse plus un peu d’offshore.

        Si la gouvernance du ministre Henry perdure, les Wallons vont devoir vivre jusqu'en 2020 sans espoir que leur pouvoir d’achat s’accroisse tant qu’ils garderont au pouvoir des partis croyants aux dogmes de la fausse écologie. La dernière section montre que la situation est moins grave qu’en Russie vers 1920.

Des politiques énergétiques qui ne correspondent pas aux buts proclamés

        L’efficacité des remèdes proposés par la fausse écologie (installation d’éoliennes terrestres) pour réduire la consommation de combustibles fossiles et l’émission de gaz à effet de serre est contestée par des ingénieurs. Ce qui est gagné par la production éolienne est annulé par la nécessité d’avoir des centrales thermiques d’appoint fonctionnant de façon cyclique et donc avec un rendement diminué (de 20% d’après des données disponibles et qui n’ont pas été falsifiées par les fournisseurs d’électricité.)

        L’argent supplémentaire (un milliard d’euros) qui sera prélevé chez les consommateurs pour les éoliennes n’est pas perdu pour tout le monde. Outre les avantages pour les affairistes qui décrochent des permis de construire auprès des autorités, la plus grande partie de ce que les Wallons sont contraints à verser va se retrouver en Chine où les éoliennes sont produites. Le nombre d’emplois créés en Wallonie sera minime ou sera plutôt négatif si on considère que ces investissements auraient pu être mieux employés pour la création de véritables emplois locaux durables.

        Le ministre Henry ne semble pas comprendre la situation de l’éolien en Wallonie, témoin la phrase suivante : « Les études en cours montrent que la Wallonie présente en effet des conditions venteuses intéressantes ainsi que des espaces territoriaux disponibles. »  C’est une affirmation gratuite concernant des études non publiées et probablement non terminées. Le ministre espère que ces études donneront des résultats contraires aux études sérieuses faites par Vent de Raison mais ces « études en cours » ne pourront pas changer le manque de vent du territoire wallon, un fait qui rend la solution éolienne inefficace. En plus, les mots « intéressants » et « disponibles » sont trop flous pour que la phrase ait encore une signification autre que celle d’une velléité ou d’un slogan gratuit.  

       « La technologie de production d’énergie éolienne est arrivée à pleine maturité, » (Le ministre reconnaît-il ainsi que la rentabilité des éoliennes, qui reste toujours aussi déficitaire après 20 ans de développements, ne pourra plus être améliorée, comme le prétendent certains messages de propagande des lobbies éoliens auquel personne ne croit ?) « elle présente ainsi aujourd’hui un bon rapport coût-efficacité » (produire de l’électricité 3 fois plus chère n’est pas vraiment un bon rapport !) « au sein d’un secteur bien développé sur lequel il convient de s’appuyer. » Cette dernière partie de la phrase signifie-t-elle que le ministre Henry s’appuie sur le secteur représenté par les lobbies éoliens tel qu’Edora (un lobby qui a des moyens bien développés) plutôt que sur des études indépendantes et sérieuses ?

        Alors que le ministre affirme que « chaque décision est donc prise dans le respect d’un cadre normatif détaillé et sur la base des orientations politiques définies par le Gouvernement en matière climatique, énergétique, environnementale, de protection du cadre de vie et du patrimoine naturel, paysager, culturel et architectural », il nie sa propre affirmation en prenant un grand nombre de décisions sans respecter l’avis des autres parties prenantes et en imposant ses choix par la manière forte. Il considère que sa responsabilité est de faire passer les objectifs ambitieux et injustifiés de son parti de l’écologie politique avant les avis motivés de sa propre administration (et des autres services). Autant supprimer les procédures de consultation et l’administration qui étudie l’aspect technique des éoliennes, puisque le pouvoir excessif du ministre n’en tient aucun compte. C’est un abus de pouvoir de faire passer des dogmes (la vraie raison de ses décisions politiques) avant des raisons techniques (clairement signalées par les avis négatifs des administrations et des pouvoirs locaux). Le régime n’a plus rien de démocratique ou de sensé. La méthode Henry donne beaucoup de travail improductif au conseil d’Etat, le seul apte à annuler les excès de pouvoir.

         « Au vu de ces éléments, et de la qualité du travail d’analyse réalisé par les administrations, les bureaux d’études, mon Cabinet, mais également par des groupements citoyens qui expriment démocratiquement leur point de vue, favorable ou défavorable, dans le cadre de la construction de ces dossiers, il n’est pas acceptable de parler, comme vous le faites, d’excès de pouvoir. Il s’agit du simple respect et de l’expression des responsabilités qui m’incombent en tant que Ministre de l’Environnement et de l’Aménagement du territoire. » Comment interpréter cette contradiction ? Ou bien le travail des administrations est sérieux et un responsable doit en tenir compte, ou bien (et c’est le cas) le ministre prend la responsabilité d’ignorer ces avis autorisés. Il s’agit effectivement d’un abus de pouvoir, puisqu’il n’y a aucune raison technique (par opposition à dogmatique) pour que des objectifs politiques puissent être imposés d’autorité contre des arguments expliqués et valables.

Du danger de l’excès de pouvoir

        Lors de l’instauration du communisme en Russie, les coutumes qui rendaient possible la rentabilité furent abandonnées au profit d’un idéal d’égalité. Il n’y avait plus de motivation pour travailler ou entreprendre et donc pour assurer une productivité suffisante pour permettre une rentabilité minimale. Cette politique fut évidemment sabotée par les Russes et l’Etat soviétique a du conférer à une bureaucratie (les membres du parti) un « excès de pouvoir » pour imposer des mesures dogmatiques désastreuses, ce qui a transformé ainsi le régime en totalitarisme.

        Les données réelles sur l’économie de l’URSS étaient faussées et remplacées par des statistiques imaginaires. Les études sérieuses sur la réalité de la situation et les critiques étaient interdites. L’abus de pouvoir était généralisé. Il est probable que plusieurs membres du parti croyaient honnêtement qu’ils travaillaient dans l’intérêt général et prenaient de bonnes décisions, ce que la propagande soviétique leur affirmait journellement.  Les apparatchiks, comme les écologistes aujourd'hui, prétendaient agir pour l’intérêt général.

       Un parti (écologie politique) essaie maintenant en Europe d’instaurer un développement durable à marches forcées, principalement motivé par la croyance (utopique) que le renouvelable serait efficace et indispensable, alors qu’il est loin d’être rentable et que des solutions alternatives meilleures existent souvent. Le parti organise des séances d’endoctrinement pour ses candidats, lesquels sont sélectionnés à condition d’être des partisans inconditionnels des dogmes de l’écologie politique. Le parti les présente alors aux élections et les soutient par une propagande médiatique, d’ailleurs très efficace.

         Parmi les promoteurs de l’énergie verte, il existe probablement des gens persuadés d’avoir raison, des gens qui ne trouvent pas bizarre qu’on les fasse agir par idéalisme pour une cause opposée à la rentabilité, laquelle aurait permis aux citoyens d’avoir plus de pouvoir d’achat dans ces temps difficiles. (On en est à ce point dans le secteur énergétique de la Wallonie). Même après la guerre froide, les contraintes techniques et économiques étaient toujours remplacées par des objectifs politiques, avec les résultats que l’on a pu constater. L’URSS, ruinée par rapport à ses concurrents américains et européens, n’a pas pu résister à la comparaison des deux modes de vie : celle des Occidentaux ayant, grâce à leurs entreprises rentables, des moyens de bien vivre et celle des sujets de l’empire soviétique qui vivaient misérablement. Il a fallu attendre longtemps avant que ce régime autoritaire déconnecté de la réalité soit renversé. Les Chinois et les Indiens doivent se demander pourquoi les Occidentaux n’apprennent rien de leurs erreurs passées.

       Le parti de l'écologie politique se livre déjà à des mesures contraignantes (totalitaires) pour imposer ses dogmes (voir l’exemple de la Wallonie). Les communiqués de propagande qui soutiennent le dogmatisme (épuisement rapide des combustibles fossiles, réchauffement climatique catastrophique dus aux gaz à effet de serre émis par la combustion d’énergies fossiles) sont truqués. Les conclusions de cette fausse écologie sont contestées par de plus en plus de scientifiques (les sceptiques) qui deviennent majoritaires aux USA. Les aspects hérétiques, scientifiques ou comptables, sont camouflés ou déformés par les médias soutenant les dogmes de la fausse écologie.

Situation politique en Wallonie

        Philippe Henry est ministre de l’environnement, de l’aménagement du territoire et de la mobilité. Jean Marc Nollet est ministre du Développement durable et de la Fonction publique en charge de l’Energie, du Logement et de la Recherche. Ces deux ministres, tous deux d’un parti qui se fait appeler écologiste, ont la main mise sur l’éolien, bien que leur parti n’ait que 14 sièges sur 75 (19%). Probablement que d'autres partis leur ont laissé les mains libres pour avoir une majorité, ne se rendant pas compte qu’ils allaient détruire la Wallonie de façon durable, à la fois sur le plan économique (réduction du pouvoir d’achat de 5%, ce qui est énorme même si on le camoufle !), et touristique (perte de valeur des industries touristiques et de l’immobilier par destruction du caractère rural et paysager des zones vertes encore existantes). Pour ne pas se retrouver dans l'opposition, des partis (notamment le PS) ont ainsi dû s'allier aux Verts et abandonner la Wallonie aux éoliennes. Un autre parti, le CDH (17% de sièges) avait déjà profité largement de la manne éolienne, lorsque le ministre Antoine avait autorisé les premiers parcs éoliens dans sa commune et les communes voisines.

       Le parti international de l’écologie politique ne présente aux électeurs que des politiciens convaincus par les dogmes universels de la fausse écologie. Ces politiciens sont en plus endoctrinés pour être les dociles exécutants des objectifs du parti, objectifs qui ont pour eux valeur de dogme. Ils ne se posent même pas la question (comme le montre les réflexions de Henry) de savoir si ces objectifs sont valables ou soutenus par l’administration technique locale ou par les électeurs concernés. Certains médias sélectionnent leurs informations comme s'ils avaient une foi aveugle dans les écologistes qui se sont donné la mission sacrée de sauver la planète et les célèbrent par des campagnes de relations publiques où le sens commun a disparu.      

        Il serait judicieux que la majorité du parlement wallon arrête la politique des ministres de l’écologie politique, laquelle est ruineuse pour les citoyens (ceux qui vont devoir payer des factures d’électricité majorées).

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