Groupe d’information sur les éoliennes (La Roche-en-Ardenne) 

 Dossier sur les coûts et les nuisances des éoliennes 

 

De même que la peinture de la Renaissance célébrait la religion par des chefs d’œuvre, le média moderne, le cinéma, a célébré des nouvelles idéologies par des chefs d’œuvre. En voici 3 exemples assez différents.

Trois chefs d’œuvres de la propagande

Le cuirassé Potemkine de Sergei Eisenstein

      Le  film « Le cuirassé Potemkine » fut commandé en 1925 par les Soviétiques à Eisenstein, cinéaste mondialement renommé, pour  commémorer le début de la Révolution soviétique (1905). Cette histoire idéalisée de la mutinerie sur le cuirassé et de révoltes populaires associées a fait date dans l’histoire du cinéma car Eisenstein était un pionnier du montage. Son film fut admiré partout dans le monde pour sa technique artistique et est considéré comme une des grandes œuvres d’art. Son film a aussi été efficace pour la propagande et a révélé comment ce nouveau média pouvait être utilisé  pour éduquer et endoctriner les millions de paysans russes illettrés,

Le Triomphe de la Volonté de Leni Riefenstahl

      Le nouveau pouvoir allemand, dirigé par les nazis, a commandé un film de propagande à la gloire du régime. La cinéaste Leni Riefenstahl a ainsi tourné le film « Le Triomphe de la Volonté » à l’occasion des jeux olympiques à Berlin en 1935.

      Le film est considéré comme un chef d’œuvre de l’art car la cinéaste a maîtrisé les techniques du cinéma naissant pour exprimer ce qui était exaltant dans la nouvelle idéologie.

       Le film a été produit avant le début des actes racistes officiels et de la guerre. Il a remporté un prix d'honneur en France comme meilleur documentaire de l'année. Il a été primé au festival de Venise en 1936 et a été diffusé lors de l'Exposition universelle de Paris en 1937.

     Trente ans après, la réalisatrice a déclaré : « J'ai seulement montré ce dont tout le monde, alors, était témoin... À l'époque, on croyait encore à quelque chose de beau. Le pire était à venir, mais qui le savait ? »

« Home » de Yann Arthus-Bertrand

      Yann Arthus-Bertrand est l’auteur de photographies saisissantes montrant la terre vue du ciel. Il a publié un livre publiant ces photos « La Terre vue du Ciel », un succès de librairie vendu à 3,5 millions d’exemplaires.

      Ensuite, Yann Arthus-Bertrand a tourné un film sur le même sujet. On lui a confié des caméras gyroscopiques développées pour l’armée et d’usage restreint car elles servaient pour l’observation des cibles en cas de conflits militaires. Ces caméras, attachées sous un hélicoptère, stabilisent les vues malgré les secousses, donnant des images stables et donc de très haute définition.  

      Le sujet du film « Home » est de montrer les merveilles de la nature et comment elles sont modifiées par l’industrialisation.  Le commentaire a été écrit en accord avec Al Gore, qui forme des militants écologistes. En plus des facilités offertes, hélicoptères, support diplomatique pour les autorisations et permission d’utiliser du matériel militaire classifié, le film a été financé (production et distribution) par des mécènes (dont le dernier révélé est Pinault, CEO de PPR).

       Le film, étant ainsi payé, est disponible sans frais d’auteur. Il a été projeté partout dans le monde par au moins une station de télévision par pays et par Internet. La date de sortie du film montre le but politique : la veille des élections européennes. Cette propagande camouflée sous une bannière officielle a contribué aux succès des partis verts. Des journaux américains titraient "Ecologists win with ecologist film". (Les écologistes gagnent grâce à un film écologique). On a pu aussi observer que la campagne écologique se poursuivait depuis les élections, des émissions préparées demandant à chacun de faire des donations aux ONG qui se prétendent écologiques et qui culpabilisent les citoyens et leurs élus parce qu’ils ne font pas assez pour l’écologie.

       Comme les 2 autres films, ce film est acclamé à juste titre comme un nouveau chef d’œuvre artistique. Il est aussi un magnifique film de propagande pour l’écologie profonde.

L’écologie politique est-elle une nouvelle religion ?

      Yann Arthus-Bertrand (YAB) partage les préjugés de l’écologie profonde. « Je vais vite parce que dans dix ans, si on ne fait rien, la planète sera foutue ». Depuis des années, on entend qu’il y a une limite de moins de 10 ans pour agir. Les opposants à « l’affairisme de l’environnement » disent que ce chiffre a été choisi parce que le temps pour construire une centrale nucléaire est fixé à plus de 10 ans chez les écologistes. La France a besoin d'au moins dix ans pour construire ses nouvelles centrales nucléaires EPR tandis que l'Asie (Corée et Japon) le fait en 4 ans et a gagné en 2010 un énorme marché de 4 réacteurs nucléaires à Dubai grâce à cette efficacité ou grâce aux manque de pouvoir de l'administration asiatique pour perturber le processus constructif

      Le film montre les changements de la terre suite à la modernisation de l’agriculture, de l’élevage et de quelques industries. Il n’est pas une véritable discussion de cette évolution car il ignore les progrès dans la façon de vivre des 6 milliards d’hommes actuels par rapport à celle du milliard d’hommes qui vivaient avant la révolution industrielle. Sans cette apparente destruction de l'environnement, il n'aurait pas été possible de faire survivre autant de personnes sur terre. On ne peut vouloir un aspect de cette évolution en niant l'autre.

      Le film décrit la situation mais n’apporte pas de suggestions positives pour y remédier. D’après l’auteur, on a essayé de corriger ce ton pessimiste en ajoutant quelques solutions à la fin du film. Cela se borne à montrer des vues d’éoliennes qui tournent et qui sont à ajouter aux autres destructions que le film montre.

      « Je me pose la question : comment va-t-on remplacer le nucléaire ? Ce n’est pas honnête de dire que c’est possible avec des énergies renouvelables ». (Yann Arthus-Bertrand, photographe-journaliste français).

      YAB soutient les promoteurs éoliens qui détruisent la santé des riverains, un agissement qu'il dénonce dans d'autres extraits de films.

Écologie militante, politique et scientifique

      Il est devenu nécessaire de distinguer plusieurs types d’écologie.

  • Les scientifiques de l’écologie, lassés d’être confondus avec  des écologistes ignares, ont dû changer le nom de leur discipline en « écologie scientifique ».
  • A l’origine, l’écologie se confondait avec l’amour de la nature et de sa conservation. Elle se composait surtout de gens opposés à l’industrialisation destructrice de la nature. Cette tendance avait en commun avec la religion un dédain inconscient pour la science et la technique, un goût des slogans exaltants mais creux et un besoin de militer sous un discours émotionnel. L’écologie profonde a toutes les caractéristiques d’une idéologie enthousiasmante mais irréfléchie, comme l’avaient été en leur temps le bolchevisme et le nazisme.
  • Les partis verts, d’origine allemande, ont pris un grand pouvoir avec l’aide des lobbies d’affairistes de l'environnement. Ils font de l’écologie politique. Le parti vert a ainsi progressé dans le vide politique qui a d'abord régné autour d'une Europe naissante, boudée par les partis nationaux. Le parti vert rend maintenant son dû à l'écologie industrielle (celle des lobbies éoliens) qui l'a propulsé au pouvoir.

Brève histoire de l’écologie politique

     La perte de l’indépendance de la Prusse, battue par les armées napoléoniennes, a été un traumatisme profond pour les intellectuels allemands. Une réaction étonnante fut de rejeter l’esprit des lumières et le rationalisme.

     L’homme allemand devait conserver ses vertus naturelles (ce qui signifiait ses tendances animales, combattues par l’éducation) et vivre en harmonie avec ses forêts. Cette idéologie nationaliste et xénophobe fut préconisée dans un article de Ernst Moritz Arndt (1815) qui condamnait la déforestation et l’industrialisation naissante. « Quand on observe la nature dans ses interactions et ses interconnexions nécessaires, toutes choses deviennent alors également importantes, les arbrisseaux, les vers, les plantes, les humains, les pierres. Rien n’est le premier ou le dernier mais tout fait partie d’une unité globale ».

       Ce texte correspond à l’écologie profonde actuelle. Il enthousiasma quelques jeunes romantiques, précurseurs du futur idéal hippie.

        L’industrialisation naissante et le développement des villes et du commerce fut associé aux juifs, qui avaient une façon de vivre opposée à celle des paysans et des militaires. Cette confusion a contribué à l’antisémitisme latent dans les régions chrétiennes (car le Protestantisme est plus favorable aux affaires).

      En 1867, le zoologiste Ernst Haeckel (qui a fait connaître Darwin en Allemagne) a fondé la science de l’écologie pour étudier des interactions entre un organisme et son environnement. Il a développé une philosophie de darwinisme social qu’il a appelé Monisme. Cette idée a été détournée pour impliquer la survie des races les plus aptes et l’eugénisme.

      Vers 1900, un mouvement de jeunes, dont beaucoup d’artistes, les ‘Wandervöghel’, les « esprits libres et errants », s’organisa pour rechercher une vie proche de la nature et non aliénée par la technologie. Lors d’une réunion qui célébrait le centenaire de la victoire de Leipzig contre les Français en 1813, le philosophe Ludwig Klages, appelé à prononcer un discours, a développé et publié un texte en 1913, sous le titre : « L’Homme et la Terre », un manifeste considéré comme le premier de l’écologie.  

L'évolution des idéologies

     Rien ne se fait de grand sans un support idéologique fort. Cependant ces mouvements d'idées ont eu tendance à oublier la réalité et la logique et sont devenus des religions niant la science. Cette évolution s'est observée pour le communisme et le fascisme et on s'inquiète de l'argumentation des groupes soutenant l'écologie car l'aspect scientifique y disparaît de plus en plus.

     Les deux premières idéologies, prises dans leurs contradictions économiques et pratiques, ont dû fait face a des opposants de plus en plus déterminés et sont devenues des dictatures. Les nazis ont profité des courants écologiques (éco fascisme) qui restent très présents en Allemagne.

     Il y a de quoi s'inquiéter en voyant comment l'écologie est prêchée depuis l'enfance comme des articles de foi et comment elle est subsidiée en tenant compte de l'écologiquement correct et non du scientifiquement valable. Cette évolution est illustrée ici par deux exemples :

Le projet « Turning point »

     En septembre 1999, un réclame d’une page entière a été publiée dans le Times (le plus influent journal New Yorkais et donc mondial). La réclame traitait du réchauffement climatique, de la mondialisation et du désordre écologique. Dans cette même année, 25 autres pages sur l’environnement furent ainsi publiées par les mêmes sponsors.

       Paul Krugman, un économiste du MIT (et qui a reçu ensuite le Prix Nobel) a écrit un article dans le même journal Times : « Qui paie pour ces réclames ? » Les pages semblaient payées par une coalition  d’ONG écologiques, y compris les plus connues : « Greenpeace » et « Les Amis de la Terre ». Le nombre initial des donateurs était de 50 puis est monté à 108. Comme un page de publicité coûte de l’ordre de  100 000 $, il était difficile que des ONG vivant de dons puissent payer cela. Puisque les compagnies américaines doivent publier leurs déclarations fiscales, on a appris plus tard que ces pages avaient un commanditaire principal, Douglas Tompkins, qui avait fait fortune dans l’habillement. Les autres largesses du milliardaire furent accordées à des organisations s’occupant d’écologie profonde.

      La « Deep Ecology »  est un système de croyances radicales qui élèvent l’écologie au rang d’une religion. Le credo de l’écologie profonde insiste sur l’insignifiance de l’homme par rapport à la nature. La vie humaine n’a pas plus de valeur que celle des plantes ou des animaux. Il faut faire décroître la population et cesser de rechercher un haut standard de vie.

     L’écologie profonde existe depuis 1866 mais l’injection de 100 M$/an pour sa diffusion a fait passer l’écologie au dessus des autres préoccupations. Cette histoire montre qu’un milliardaire peut orienter la propagande pour une nouvelle religion ou un nouvel affairisme.

Les Éoliennes citoyennes

      Depuis, un cas similaire mais non personnalisé, a pris de l’ampleur. Les moyens financiers pour la promotion et les actions de cette nouvelle écologie profonde semblent vastes, une banque assurant des financements pour tout investissement que l’organisation juge éthique. Qui est derrière les Éoliennes citoyennes ? La société d’Anthroposophie a été créée en même temps que la « Scientologie » et a des moyens financiers peut-être aussi importants mais elle a conservé sa respectabilité. Elle a un réseau étendu de partenaires écologiques en Belgique. Elle a sa propre banque : Triodos. L’Anthroposophie ne précise pas comment sont financées toutes les organisations de ce réseau, y compris une majorité d'ONG qui ne devraient vivre que de dons ?

      Des pistes se trouvent dans les phrases suivantes extraites du livre de Jean-Louis Butré (2008) L'Imposture Éolienne, Éditions du Toucan.

      « Les promoteurs éoliens et leurs puissants syndicats organisent aussi pour les écoliers des visites de parcs avec distribution de gris-gris, des concours de cerf-volant, tout cela pour faire passer le message : « la France est en retard, il faut construire des éoliennes. Dites-le à vos papas et mamans, sans cela ils seront des créatures épouvantables qui mettent en danger votre avenir »

... Cette technique classique du lavage des cerveaux précoces est devenue franchement inquiétante. Mais lorsque des promoteurs éoliens fabriquent des « sociétés d’enfants », un nouveau cran est dépassé, et il est ahurissant que certains médias se prosternent devant cette idée de génie et que des hommes politiques ne disent rien. L’exemple suivant devrait pourtant les inquiéter.

      Ainsi a été créé « Allons en vent l’Éolienne des enfants » : une réalisation belge « exemplaire » d’écocitoyenneté. « L’Éolienne des enfants » est une coopérative particulière : les actionnaires sont des enfants qui ont pris des parts à 10 euros. … Chaque part rapporte 3 % d’intérêts bloqués sur 10 ans. Ce beau projet a pu voir le jour grâce à « Vents d’Houyet », développeur de parcs éoliens, également à l’initiative, en 2007, de la création de la coopérative citoyenne « Émissions Zéro » ...

      … « L’Académie du vent » (branche pédagogique de Vents d’Houyet) est active depuis 2002. L’équipe pédagogique est chargée par le centre culturel de Marche-en Famenne de réaliser les animations scolaires en lien avec l’exposition « Du vent dans les girouettes » en mars et avril 2008. Plus de 1000 enfants sont déjà inscrits.

       … Après un premier sentiment d’enthousiasme, le citoyen normal qui commence à réfléchir un peu devrait se poser logiquement 3 questions. Des enfants mineurs actionnaires de sociétés ? Des écoles de formation « Académie du vent » ? Une banque alternative qui finance : qui est Triodos ?

La banque Triodos

      La banque Triodos a été fondée par un mouvement nommé « Anthroposophical Society » et son comité, le « Gœtheanum ». Cette société participe à pratiquement tous les investissements renouvelables, notamment éoliens, soit directement, soit à travers des structures « coopératives ». Cette initiative a vu le jour aux Pays-Bas dès les années soixante-dix. Il s’agit d’une initiative dans le domaine bancaire, qui s'est développée en même temps que les produits financiers qui ont provoqué une crise mondiale. Les anthroposophes qui se trouvent à sa base ont, en quelques sorte, lancé le concept de banque éthique.

      Depuis 2006, une filiale a été créée en Belgique. Il en existe également une en Angleterre. La philosophie de base est de permettre à l’épargnant de savoir à quoi est destiné l’argent qu’il dépose. La banque s’efforce de prêter essentiellement en faveur de projets novateurs sur le plan écologique ou social. C’est ainsi qu’aux Pays-Bas, il y a une étroite collaboration entre la "Triodos Bank" et le secteur de l’électricité afin de développer l’énergie éolienne.

L’Anthroposophie est-elle une religion ?

       L’Anthroposophie avait figuré comme secte dans le rapport 2000 de la MILS (Mission Interministérielle de Lutte contre les Sectes en France) et dans le rapport fait au nom de la Commission d’enquête sur la situation financière, patrimoniale et fiscale des sectes. Bien que l'Anthroposophie ait été répertoriée comme une secte par les députés, ce classement a ensuite été annulé. La justice française y a vu la première grande bavure dans la lutte antisecte et a condamné le Président de la Commission d'enquête parlementaire. La MILS continue pourtant à prôner une grande vigilance contre ses multiples réalisations. Comme la Scientologie, l’Anthroposophie est surveillée mais cette dernière n’a pas été inquiétée. 

     Le livre de Paul Ariès (2001) Anthroposophie : enquête sur un pouvoir occulte, éditions Golias, est annoncé ainsi :  Ce courant occultiste est peu connu malgré ses réalisations qui font de chacun un allié potentiel de Rudolf Steiner, fondateur de l'anthroposophie : agriculture biodynamique, écoles Waldorf, eurythmie, banque ou placement éthique, médecine alternative, architecture nouvelle, etc. Qui sont ces anges que l'homme retrouverait durant son sommeil ? Que penser des Archanges qui domineraient la vie des divers peuples ? Quel rapport entre la race germano-nordique et la NEF, future banque " verte " ? Existe-t-il des races inférieures ? Les noirs sont-ils mieux que les jaunes ? Pourquoi la société future serait-elle constituée en différentes castes ? Pourquoi ne faudrait-il pas intellectualiser prématurément les enfants ? Que contiennent les produits issus de l'agriculture biodynamique ? Comment fonctionnent vraiment les médicaments anthroposophiques ? Comment vivent depuis bientôt un siècle les anthroposophes ? En quoi croient-ils ? Sont-ils à l'origine du New-Age, de l'écologie profonde ? Qui se cache derrière le centre mondial suisse dénommé le Goetheanum ? Quels sont les soutiens dont elle bénéficie au sommet des États ? Pourquoi une certaine " gauche " choisit-elle Steiner contre Marx et Freud ? Un livre iconoclaste et dérangeant. Un ouvrage qui questionne.

      L'Anthroposophie semble avoir tenu compte de ces critiques. Elle n'est plus liée à aucune personne identifiable. Elle insiste sur ses idéaux éthiques, supprime ses prétentions trop ésotériques et soigne sa publicité, tenant à jour un site web qui ne choque pas, malgré qu'elle soutienne l'embrigadement d'enfants. Elle implante des éoliennes isolées au milieu de zones résidentielles car ses légistes lui ont indiqué comment court-circuiter légalement les procédures pour obtenir un permis de construire. Son investissement éolien doit lui rapporter de quoi financer ses autres activités.

      Il semble que l'Anthroposophie ait rassemblé un grand nombre de personnes importantes autour d'un projet écologique, ce qui expliquerait que des décideurs croient bien agir en suivant la pensée dominante et en faisant avancer des projets écologiques. Comme cela leur rapporte, ils ne cherchent pas à comprendre ceux qui les accusent de détruire l'environnement  paysager. Ils ne vérifient pas s'ils sont manipulés par des lobbies industriels faisant adopter des règlements qui ne réduisent pas vraiment les émissions de CO2 mais qui profitent à leurs affaires. 

       Des textes d'écologie font penser aux doctrines du « New Age ». Un texte du « New Age », peut-être antérieur à la croisade écologique et indépendant du réchauffement climatique, nous dit que « le temps nous est compté. Notre monde court à sa perte. Il est  voué au déclin, à la décadence. Nous détruisons la terre, sa faune et sa flore.  … Mais nous pouvons tout arrêter. Il n’est pas trop tard. Nous avons la possibilité de changer radicalement nos comportements pour vivre en harmonie les uns avec les autres, grâce à une prise de conscience globale et un renversement de la vapeur. L’avenir sera ce que l’homme en fera. S’il veut survivre et prospérer, il devra transformer radicalement ses comportements, son sens des valeurs, s’ouvrir aux vérités spirituelles, faire de son monde qui se meurt du mal d’amour, un univers de paix et de joies retrouvées ». (d'après [188]).

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