Groupe d’information sur les éoliennes (La Roche-en-Ardenne) 

 Dossier sur les coûts et les nuisances des éoliennes 

 

Les médias on utilisé le mot complot à toutes les sauces et peuvent prétendre que n’importe quelle manœuvre est un complot, ce qui a permis de ridiculiser la plupart des théories du complot.

Qu’est ce qu’un complot ?

     Bin Laden avait formé un groupe de terroristes et d’experts en démolition pour mettre au point les attentats du 11 septembre 2001. Y a-t-il complot dès que les préparatifs sont faits en secret et qu’il y a plus d’une personne impliquée ? Ou quand il y en a au moins 50 ? Quand on parle de complot, il faut définir ce que ce mot veut dire. Les médias on utilisé ce mot à toutes les sauces et peuvent prétendre que n’importe quelle manœuvre est un complot, ce qui a permis de ridiculiser la plupart des théories du complot.

L’organisation de la production d’électricité résulte-t-elle d’un complot ?

      La libéralisation ne s’est pas préparée en secret, puisque des conférences et des livres  [148] y ont été consacrés. Cependant, plusieurs clauses de la libéralisation n’ont pas été divulguées et la firme Enron (dirigée par son gourou Ken Lay) a utilisé ces failles légales pour monter une des plus coûteuses arnaques du XXe siècle. Lors de la faillite d’Enron, on a constaté que les consommateurs américain d’électricité avaient dû dépenser plus d’un trillion de dollars de plus que si la libéralisation n’avait pas été entreprise.

De quel type de complot parle-t-on ?

      La question débattue actuellement est : Est-ce que l’alarmisme climatique et les changements dans la gestion de l’énergie qui en découlent sont-elles un complot ? On a constaté un détournement du processus scientifique pour soutenir l’idéologie sous-jacente à l’alarmisme climatique (telle que le Climategate au GIEC). On constate que les sceptiques, tels que Allègre, font l’objet de campagnes de dénigrement bien organisées par les médias et les revues scientifiques rachetées par des partisans de l’alarmisme sur l’AGW (anthropic global warming). La revue, « Scientific American », qui avait autrefois un grand standing intellectuel,  avait ainsi lancé les premières études pseudo scientifiques sur l’AGW mais les lecteurs ont appris ensuite que la revue ‘Nature’, propriétaire du ‘Scientific American’, venait d’être rachetée.

       On a constaté que beaucoup d’affairistes ont déjà profité des opportunités industrielles que cette vision déformée des questions énergétiques avait rendues possible. La réponse à la question du complot n’est certainement pas ‘oui’ ou ‘non’ mais une mesure des déviations produites, c'est-à-dire, des progrès dans la réalisation des buts derrière l’alarmisme de l’AGW.

      Comme les médias (c'est-à-dire, ceux qui les financent) ont présenté des versions plus que déformées des problèmes climatiques et énergétiques, on peut déceler une culture du secret. Il ne s’agit pas du genre habituel d’action secrète d’une association de malfaiteurs mais d’une exploitation d’une population déboussolée parce qu’elle ne sait plus qui croire et se laisse influencer par le matraquage médiatique actuel qui disqualifie les vrais experts et ne donne la parole qu’à ceux qui répandent le message souhaité.

Combien de gens faut-il pour un complot de la taille de l’alarmisme climatique et combien faut-il dépenser ?

      Pour un bon complot, il faut beaucoup d’exécutants fiables mais qui ne sont au courant que d’un aspect du plan d’ensemble. Chacun peut ignorer (ou faire semblant d’ignorer) le grand dessein. Tout bon dirigeant présente un travail à faire comme devant servir à des buts élevés (éradiquer le nucléaire, être préparé pour l’épuisement des combustibles fossiles, empêcher un réchauffement catastrophique). On peut alors faire admettre à ces exécutants, comme Al Gore le préconise, qu’ils ont le devoir de mentir pour servir ces buts plus élevés. On met aussi à son service les tendances religieuses en plus d’annonces fantaisistes sur le nombre d’emplois crées, sur les avantages économiques et sociaux et sur la lutte contre le capitalisme et les inégalités.

      Les seuls personnages clés sont les rares comploteurs qui ont une vue d’ensemble (un expert comme Maurice Strong et quelques uns des ses amis et obligés peuvent suffire). L’autre problème, plus difficile à régler, est d’avoir les moyens de financer des agences de relations publiques qui peuvent faire les démarches auprès des médias, en ne dévoilant pas qui est le client ultime qui finance les publications, les ONG et les actions médiatiques ou en lâchant des informations invérifiables pour orienter sur une fausse piste (comme de faire croire que les lobbies du charbon financent les actions contre le nucléaire). Il suffit d’un administrateur par grande compagnie pétrolière, ayant en charge le budget de relations publiques, pour coordonner de telles opérations coûtant des milliards de dollars.

      Les politiciens qui sont impliqués dans un complot ne savent pas qu’ils sont manipulés et ce qui est derrière les demandes. Ils ont seulement compris que, pour réussir, il faut faire ce que les bailleurs de fond du parti et les grands lobbies leur disent de faire.

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