Produire de l'électricité intermittente à partir de sources d'énergie renouvelable a de nombreux défauts. 

Le renouvelable dont on oublie les défauts     

      À partir de l'idée primaire que le renouvelable est une énergie identique à celle des autres combustibles, des politiciens ont imposé des énergies renouvelables définies en dépit du bon sens et dont il n'ont pas étudié le processus d'intégration alors qu'elles sont loin d'être équivalentes.

       Le renouvelable est promu par des théoriciens dogmatiques qui ne se rendent pas compte des contraintes d'exploitation. L'électricité intermittente est confondue avec celle à la demande. Les problèmes soulevés sont les suivants :

• Les monopoles des anciens producteurs d'électricité sont remplacés par des monopoles gérant les réseaux sans que rien ne les pousse à diminuer les prix.
• Les règles de libéralisation du réseau d'électricité ne tiennent pas compte de la nécessité de payer pour des investissements. La capacité de production devient inférieure à la demande. Le manque de générateurs d'électricité et de capacité de transport provoque des pannes générales en Californie, à New York, en Angleterre puis en Allemagne.
• L'égalité pour la liberté d'accès au réseau a des exceptions pour ce qui est classé parmi les renouvelables. La libéralisation du marché est battue en brèche par des privilèges pour les énergies renouvelables.
• Les réseaux électriques, alimentés par une majorité de sources d'énergie renouvelables, n'ont plus assez de production de base pour synchroniser le réseau.
• L'électricité injectée n'a pas la puissance de régularisation nécessaire pour stabiliser le réseau. Les pannes sont attribués à un réseau de transport insuffisant au lieu de l'être aux fournisseurs intermittents.
• Le manque de protection contre la surproduction des marchés empêche les solutions les plus économiques à long terme, telles que le nucléaire.
• Il n'est plus possible de se protéger contre une augmentation du prix du gaz naturel par un cartel de  fournisseurs extérieurs puisqu'on ne peut plus le limiter par le prix stable du nucléaire.
• Les pertes de transport et les frais financiers du réseau ne sont pas comptabilisées sur les comptes des producteurs responsables.
• Si on emploie de la biomasse, le fuel généré remplace la production alimentaire.
• Les installations sauvages d'éolien détruisent les campagnes.

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